#LaUne #tendances

Pour ses 20 ans, Sushi Shop met les petits plats dans les grands

20 ans, ça se fête, et Sushi Shop marque l’occasion en beauté avec une collaboration plus artistique que jamais. Après Sarah Lavoine, Scott Campbell ou encore Anne-Sophie Pic, la marque fait appel à trois maîtres du street art pour repenser sa boîte.

Aux commandes: Nasty, figure emblématique du mouvement Graffiti et du Street Art depuis 1988. Il s’est distingué en recouvrant les rames de métro de fresques colorées jusqu’au milieu des années 90. Suite à son passage en galerie, il a suscité beaucoup d’enthousiasme grâce aux supports uniques et inédits qu’il utilise : plaques émaillées et plans de la RATP ou encore les céramiques qui recouvrent les couloirs du métro. Depuis, ses œuvres ont fait l’objet de nombreuses expositions et ont séduit plusieurs marques avec lesquelles il a collaboré.

Sur ce projet, j’ai volontairement utilisé des couleurs qu’on ne retrouve pas dans mon travail mais j’ai gardé les éléments du graffiti qui me tiennent à cœur, car c’est cela que je souhaite partager. Chaque élément a été créé à la main à l’aide de bombes aérosols, puis assemblé numériquement dans une composition soigneusement chaotique.

Jay One, lui, signe une box au look radicalement différent, parée pour l’occasion de gris et de vert. Membre fondateur du mythique groupe BBC (Bad Boy Crew), Jay One est considéré comme l’un de précurseurs du graffiti en Europe. Artiste pluridisciplinaire travaillant la musique, la vidéo, la peinture et le street art, ses œuvres sont le fruit d’une exploration de la culture caribéenne et sa représentation dans le monde. Depuis bientôt 30 ans, Jay One est régulièrement exposé dans de multiples musées et galeries à travers le monde.

Enfin, pour compléter ce trio de choc, Ed Broner, qui travaille la peinture et la photographie à Berlin depuis 2002. Dans son style, il combine les influences du graffiti et de la peinture contemporaine mais également celles de l’art aborigène et de l’art africain qui lui sont chers, créant un dialogue entre les « cultures occidentales » et « non-occidentales ». Pour sa box, il a choisi de mêler influences aborigènes et art contemporain pour un résultat étourdissant.

Et parce que dans le cas présent, l’intérieur se doit d’être aussi séduisant que l’extérieur, trois sushis inédits seront proposés: le « carrot tulip », parfait mariage entre le croquant de la carotte snackée et les saveurs iodées du wakamé, le tout enrobé de fromage frais, le « California salmon Pepper », un saumon avocat revisité dans une version plus relevée, et le « Spring Chicken Teriyaki », un roll aux influences nipponnes allie la douceur du poulet teriyaki et la fraîcheur de la coriandre.

Avis aux gourmands qui voudraient y goûter: la box sera lancée en septembre dans l’ensemble des boutiques Sushis Shop et proposée au prix de 45 euros pour 42 pièces de sushi. Bon appétit!

Vous aimerez également

Pas de commentaires

Poster un commentaire

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.