C’est à mi-chemin entre le Bois de la Cambre et l’Avenue Louise que se cache l’Osteria Romana, une enclave ensoleillée de la capitale au style « belle-époque », entre pièces en enfilade, hauts plafonds et décoration rétro. Mais ici, la cuisine est tout sauf poussiéreuse, et il se murmure même qu’on y mange les meilleures pâtes carbonara de Bruxelles.
C’est que le restaurant suit à la lettre la recette traditionnelle et prépare des carbonara que ne renierait pas une mamma romaine. Le chef Filippo La Vecchia propose une version authentique de la cuisine italienne grâce à des produits frais, importés directement d’Italie, travaillés avec passion et servis avec une générosité. Un savoureux retour à la simplicité qui enchante les papilles.
Avec ses carbonara, Filippo La Vecchia partage avec les dîneurs son enfance romaine, la cuisine de sa grand-mère et le traditionnel plat de pâtes servi après l’école.
Pour cette recette traditionnelle de la Carbonara, il faudra se munir d’une casserole d’eau chaude légèrement salée. Une fois l’eau portée à ébullition, on y plonge les pâtes et on les laisse danser le temps de se concentrer sur le reste de la préparation. On rassemble les jaunes d’œuf battus dans un récipient pour les mélanger au Pecorino, ainsi qu’à la graisse fondue obtenue par la cuisson des joues de porcs. Poêlées et bien croustillantes, on les ajoute à la préparation. On y mélange ensuite les pâtes en allongeant le tout avec un peu d’eau chaude. On râpe ensuite le restant du Pecorino sur le plat, que l’on saupoudre d’un trait de poivre noir fraîchement moulu. Puis savourer jusqu’à la dernière bouchée.
Osteria Romana
Avenue Legrand, 11 1000 Bruxelles
Tel: +32 2 648 13 95
Ouvert du lundi au vendredi, de 12h à 14h30 & de 19h à 23h Samedi de 19h à 23h
www.osteriaromana.be
1 Commentaire
D
3 février 2019 at 20 h 43 minDeux remarques :
– avez-vous vraiment goûté ce que vous racontez? J’en doute vraiment, car les avis sur Google Maps ne corrrespondent absolument pas à votre article;
– de plus, les prix semblent surfaits. Ce dont vous ne dites mot…
Revoyez donc votre article…