Qui est Chrissy Teigen ?
D’origine américano-thaï-norvégienne, Christine « Chrissy » Teigen est l’incarnation modèle d’un métissage réussi avec ses yeux en amande, son teint caramel et ses jambes interminables.
Des jambes qu’elles a paradé dans un clip de son mari, John Legend, mais aussi en couverture de Sports Illustrated, dans les pages de Vogue, et de Glamour.
Les clichés étant ce qu’ils sont, on serait donc pardonné de croire que la belle ne se nourrit que d’oxygène et d’eau fraîche, exigences du métier de top obligent.
Et pourtant.
Si Chrissy Teigen est belle, elle a aussi et surtout un beau coup de fourchette, qu’elle n’hésite pas à exhiber fièrement sur la planète web.
Un instagram tellement rempli de #foodporn qu’il en deviendrait presque culinérotique. Un site internet où elle décrit avec force superlatifs ses aventures gustatives aux quatre coins de la planète.
Mais aussi et surtout « Cravings », un livre de recettes aux photos dignes d’un magazine, où la top partage ses coups de cœurs culinaires.
Et si Gwyneth Paltrow a perdu toute crédibilité en partageant ses recettes de smoothies à 200 dollars, Chrissy Teigen, elle, a réussi à ouvrir l’appétit de ses lecteurs grâce à un humour aussi ravageur que son physique et des recettes relativement simples à réaliser, dont tous les ingrédients sont faciles à prononcer (de l’ashwaganda Gwyneth? vraiment?).
A ceux qui seraient prêts à ricaner à l’idée d’une foodie taille mannequin, Mme John Legend sait quoi répondre, affirmant que « la cuisine est un endroit que je connais bien. C’est mon endroit préféré, peu importe où j’habite, et cela doit absolument être une pièce ouverte pour que je m’y sente bien. Très franchement, il y a eu bien plus d’action dans notre cuisine que dans notre jacuzzi. La cuisine est le coeur de toute maison, et mon coeur est dans la cuisine« .
Touchant. Mais pas autant que la recette des succulentes chicken wings façon John Legend, qu’elle accompagne d’une photo alléchante n’ayant rien à envier à Sports Illustrated.
Ou sa recette de lasagne de courgettes, dont les descriptions dithyrambiques sont suffisantes pour tenter tout carnivore de passer du côté veggie de la force.
Sans oublier ses desserts décadents, ou les recettes thaï de sa maman.
Si les critiques ne disent pas si la consommation effrénée des recettes proposées permet de se sculpter un corps semblable à celui de la Martha Stewart des podiums, cela ne coûte rien d’essayer. Et ma foi, même si ça ne nous donne pas des jambes d’1m20, au moins, on se sera régalés.
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