En ces périodes estivales, difficile de passer outre les nombreux « cubis » qui fleurissent les rayons de nos supermarchés. Convivial, le cubi plait par sa simplicité, tandis que chacun vient s’y servir à son rythme. Niveaux goût en revanche, tout qui s’y est déjà essayé aurait tendance à croire que les aficionados de la caisse-outre misent surtout sur la quantité, au détriment de la qualité.
Pourtant, le cubi a de quoi plaire. Non seulement, il est léger et pratique à transporter. Mais surtout, son bouchon hermétique permet une conservation du vin près de six semaines après la première ouverture. Un atout non négligeable pour ceux qui aiment déguster leur nectar à la ficelle.
Reste que les préjugés ont la peau dure. Un constat avec lequel rompt BiBoViNo, qui a décidé de se spécialiser dans la commercialisation de cubis hauts de gamme. Elégants et distingués, les cubis de BiBoVino à l’écrin mauve se déclinent en formule de 2l, 3l ou 5l, pour une gamme de prix qui évolue en moyenne entre 25 et 50€.
Mais ce qui distingue surtout la maison, c’est le soin apporté à la sélection de ses vins. A la carte, on retrouve plus d’une quarantaine de producteurs presque exclusivement français, choisis avec soin par Bruno Quenioux, ancien responsable des vins du Lafayette-Gourmet.
Saint-Amour, Hautes-Côtes de Nuit ou encore Condrieu … même les plus belles appellations ont désormais leur carton. Inutile en revanche de chercher des noms de prestige, la philosophie de la maison prône avant tout un retour au naturel, une vinification honnête et une carte « hors des sentiers battus ».
Seule ombre au tableau ? Après une présence éclaire en Belgique, BiBoViNo a déserté notre plat pays. Pour retrouver les emblématiques boutiques parme, il faudra donc se rendre à Lille ou à Paris, ou profiter d’une halte sur la route la route des vacances, à l’aller comme au retour.
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